Pour une ville apaisée qui prend en considération tous les usagers de l’espace urbain
Toute l’équipe de Partageons la rue – Calais vous invite à participer à un atelier le mardi 28 février 2017 à partir de 19h30 au Café Richelieu, quai de la Tamise à Calais.
L’objectif de cet atelier est vous apporter une information sur les zones 30 et les double sens cyclables (réglementation, textes en vigueurs et droits).
Venez avec vos questions et invitez, à votre tour, votre entourage.
Venez rencontrer l’association Partageons la rue – Calais !
Pendant deux heures, nous serons disponibles pour répondre à vos questions, collecter vos idées, vous informer sur les zones 30, le stationnement des cycles, les… pleins de choses !
Le Richelieu est un café, donc il y aura des boissons. Vous pouvez amener des petites choses à grignoter pour que ça soit encore plus convivial !
Cette association a pour but de favoriser auprès des citoyens et des élus du Pays du Calaisis l’émergence d’une organisation urbaine donnant davantage de place aux cyclistes, aux piétons, aux usagers des transports publics, aux espaces verts.
Pour atteindre ses objectifs, l’association utilise tous moyens à sa disposition, notamment :
Rendez-vous samedi 21 janvier de 10h30 à 12h30 au café Le Richelieu
On vous propose une petite balade à vélo (réalité-fiction, besoin du téléphone portable pour suivre le parcours) décrivant comment les quais des canaux, citadelle comprise, pourraient être aménagés pour l’Eurovéloroute n°5 si les autorités locales respectaient les plans prévus depuis 2012…
Rendez-vous dimanche 16 octobre à 9h45 sur la place d’Armes
Mise à jour le 16 septembre à 17h : L’évènement Parking Day Calais est annulé. Ce n’est pas à cause de la pluie mais pour éviter un malentendu avec la municipalité. Le collectif proposera d’autres événements, ne vous inquiétez pas ! 🙂 D’ailleurs, vous pourrez profiter des rendez-vous de la semaine de la mobilité :
Événement mondial PARK(ing) DAY pose la question de la place du piéton et des espaces verts dans l’espace urbain. C’est se poser la question de l’utilisation de l’espace public, des mètres carrés de notre environnement urbain. Que souhaite-t-on en faire ? Les affecter définitivement au stockage des automobiles ? Ne pourrions nous pas les libérer et y favoriser la création de lien social, de moments de partage ? Qu’est ce qu’une ville ? Un lieu de consommation motorisé ou bien un espace de rencontres, d’échanges, un lieu axé sur l’humain ?
Le samedi 17 septembre, nous vous proposons de faire autre chose de ces emplacements. De créer, ici une bibliothèque, là un jardin éphémère, plus loin un atelier participatif ou encore un repair-café ou un espace de danse. Le rendez-vous est donné à 8h sur le boulevard Lafayette (près du marché) mais vous pouvez-nous rejoindre toute la matinée afin d’occuper une place.
Nous discuterons de la place des modes de déplacements doux et actifs dans la ville de Calais. On parlera d’urbanisme, de comment penser la ville pour que les habitants se la réapproprie.
Nous avons plusieurs actions à préparer ensemble :
Rendez-vous lundi 5 septembre de 20h à 21h sur la place d’Armes
Nous étions 14 pour ce premier rendez-vous fort intéressant ! Voici le résumé.
Rappel par un des membres du principe de cette réunion pour la constitution d’un groupe de discussion autour du vélo dans le cadre de l’urbanisme calaisien.
La Masse Critique (Critical Mass en anglais) a vu le jour à San Francisco le 25 septembre 1992 et le concept s’est vite propagé à d’autres villes. En France, c’est au début des années 2000 que le mouvement s’est fait connaître.
La Masse Critique n’est pas une organisation proprement dite, elle n’a pas de meneur. Elle est juste un rassemblement de cyclistes, skaters, rollers, etc qui, ayant atteint une « masse critique », peuvent s’imposer dans la circulation comme ne peut pas le faire un cycliste isolé.
Une Masse Critique ne bloque pas la circulation mais crée un embouteillage non-polluant pour mieux se faire entendre, et mettre les automobilistes dans la situation habituelle du cycliste : celle de passer au second plan et de subir les choix des autres…
Les personnes qui s’y rencontrent, partagent une préoccupation commune : rendre aux rues de la ville leur rôle de lieu d’échanges et de rencontre pour ainsi créer une : VÉLORUTION !
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